|
|
11 Décembre au 18 Décembre 
  11 décembre 2011
Notre départ du parc Lanin se fait sous la grisaille, on espère que du côté chilien ça sera différent 
Comme d'habitude, la passage à la frontière chilienne est un peu plus long, un agent vient vérifier ce que nous avons dans les placards (viandes, légumes, fruits et laitages étant interdits) et en profite pour visiter le cc
Nous continuons ensuite la route (un peu de piste au départ ) vers Villarica où nous comptons nous réapprovisionner en légumes et fruits....
Nous achetons donc pleins de cerises, d'abricots et de nectarines, ici c'est bientôt l'été 
On nous demande souvent ce que nous mangeons ici.
En fait, notre alimentation est la même qu'en Europe, car nous n'allons que très peu au restaurant (question de budget surtout, car pour l'instant les prix sont encore élevés); c'est donc plus simple pour nous de manger dans le cc et globalement on trouve les mêmes produits.
Nous ne satisferons donc pas pour le moment les plus gourmets et gourmands d'entre vous Mais dès qu'on mange quelque chose du pays, on fait un rapport complet avec photos............... |
| 
Nous sommes dans une région où il y a de nombreux volcans la plupart inactifs, dommage qu'aujourd'hui le ciel soit couvert car on ne voit que la base du volcan Villarica.
Nous roulons le reste de la journée en contournant le lac Calafquen , jolis paysages, un peu tristounets à cause du temps.
Il y a très peu d'endroits où rester alors nous avançons encore et terminons à Los Lagos, seul le nom (les lacs: 2ème leçon d'espagnol tout le monde suit encore  ) est enchanteur
Pour ne pas changer le style de la journée, gris et triste nous dormons dans une station service à côté du cimetière, l'exotisme sera pour un autre jour Au moins, on a du wifi pour la nuit
Route des volcans vers Chiloé |
|  12 décembre 2011
On reprend la route ce matin avec du soleil Il était temps
Et en plus, finie la piste, en tout cas pour quelques heures, et bienvenue à l'autoroute chilienne, la nationale 5.
L'état de la route n'est pas excellente mais c'est déjà mieux que les trous et les bosses
Même si c'est une autoroute (on paie aux péages), il y a des arrêts de bus et les gens traversent les voies sans être inquiets pour leur vie
Nous sommes dans une région agricole et des panneaux publicitaires énormes sont plantés un peu partout pour vanter les mérites de tel fertilisant, telle machine........
Arrivés à Frutillar, nous faisons une pause déjeuner près du lac Llanquihue avec vue sur le volcan Osorno et cette fois un soleil magnifique nous fait apprécier encore plus le spectacle.
|
|  Pendant que José fait le repas, une fois n'est pas coutume je reste avec les enfants au bord de l'eau et je profite de ces quelques minutes de tranquillité et de repos bien mérités
Ma vie de mère au foyer ne s'est pas arrêtée en partant et Dieu sait combien cette vie est dure et éreintante
Après avoir essayé le genre romanesque, je m'essaie à la dramaturgie
Ceci dit, le paysage est superbe
Nous continuons ensuite la route en contournant le lac, cette route est très touristique, on y trouve pleins de "cabañas", d'hôtels, de restaurants.......et, cela n'a rien de touristique, des travaux tous les 500m C'est une des constantes de ces pays.
Entre Ensenada et Petrohue, nous nous arrêtons à El Salto de Petrohue, un torrent qui se déverse entre des roches noires volcaniques avec puissance et vacarme.
Tous ces endroits sont maintenant payants et utilisés touristiquement ( sortie en zodiac, vidéo de la sortie.....), nous sommes donc assez limités dans notre liberté de mouvement.
|
|  L'endroit reste néanmoins superbe, ce torrent entouré de ces 2 volcans (Osorno et Calbuco) et cette végétation luxuriante (j'ai toujours rêvé d'employer cet adjectif )
Nous retrouvons quelques kilomètres de piste jusqu'à Petrohue, c'est un minuscule port qui permet de traverser le lac Todos los Santos et d'arriver en Argentine dans un décor encore une fois fantastique.
Tranquillité assurée ici, mais comme l'endroit est très petit, nous ne trouvons pas de bivouac et nous installons finalement à un ou deux kilomètres de l'entrée de la ville.
Pour ceux qui se demandent ce que nous faisons de nos soirées, et ils sont sûrement très nombreux sur cette terre  , voici un résumé (l'intégralité serait trop longue et riche en détails ):
Nous sommes en général assez fatigués, nous dînons aussi assez tard, du coup les enfants s'installent rapidement dans leur lit, Gaétan s'endort en 1er, les 3 autres lisent (d'ailleurs on est à court de livres ).
José profite de ce répit pour mettre les photos et les coordonnées GPS sur l'ordi et moi je lis.
Et là, vous vous dites:" Waouh La chance qu'ils ont Vivre des choses tellement hors du commun "
Sachez que ce rêve est aussi à votre portée, il suffit de s'en donner la peine |
|  13 décembre 2011
Encore une centaine de kilomètres et nous sommes à l'île de Chiloe, nous retrouvons l'asphalte, nous traversons une grande ville Puerto Montt où il est quasiment impossible de se garer avec un cc alors nous continuons jusqu'à Pargua où nous devons embarquer pour Chiloe.
En arrivant, nous sommes bloqués au niveau des feux, car les véhicules nous précédant attendent déjà pour embarquer Nous pensons devoir attendre quelques heures mais finalement, on nous fait passer devant question de place dans le ferry
30 minutes sur l'Océan Pacifique et nous voilà arrivés à Chacao, 1ère ville quand on débarque de l'île.
Chiloe est réputée pour ses nombreuses églises (environ 150) dont certaines sont classées au patrimoine Mondial de l'Unesco, pour ses jolies maisons recouvertes de petites tuiles en bois ( on dirait des écailles) et peintes de diverses couleurs et ses nombreuses côtes.
Eglises et Chapelles de Chiloe |
| 
La 1ère impression quand nous arrivons est la tranquillité du lieu, il y ajuste une petite place avec une église et quelques maisons colorées.
Après avoir fait le tour des rues, nous repartons vers Ancud, ( nous suivons la N5 puisque c'est la route principale de l'île).
En arrivant sur l'île, avec les enfants on s'est donné pour objectif de photographier toutes les églises et chapelles qui se trouveront sur notre passage, combien en photographierons-nous
Nous traversons Ancud sans nous arrêter et filons vers Chepu où j'ai vu que quelques fermes proposaient un accueil pour les tourismes.
Du coup, nous quittons la route pour reprendre notre chère piste.
|
|  Nous avançons dans un paysage très vallonné, la piste est correcte, et on continue notre route jusqu'à un endroit sous les pins, près de la plage et là on s'arrête car dans la descente, il y plein de trous et de bosses, donnant à la piste un paysage aussi vallonné que celui que nous avons vu avant
Impossible pour nous de continuer et on n'a même pas trouvé l'adresse de la ferme
On recule et on fait demi-tour quelques centaines de mètres plus en avant, déçus mais fermement décidés à trouver un endroit sympa pour dormir.
Heureusement, nous avons remarqué sur le chemin, un panneau indiquant une ferme "agroturismo" alors nous tentons notre chance en espérant que le relief de la route ne soit pas trop capricieux
|
|  Nous arrivons enfin dans une charmante ferme en hauteur et les propriétaires nous accueillent chaleureusement en nous proposant d'aller voir leurs vaches et ensuite la préparation de leurs fromages.
Nous discutons ensuite du prix pour pouvoir stationner chez eux (10000 pesos chiliens soit 15€) un peu cher pour ne rien utiliser chez eux mais tant pis, les enfants sont super contents de se retrouver parmi les vaches, les dindons, les poules, les chèvres et l'endroit est charmant.
La propriétaire nous explique qu'elle reçoit régulièrement des français et qu'ils sont en train de s'agrandir en fabricant une cabane pouvant accueillir 6 personnes.
Voici leur site: www.agroturismochepu.cl (famille Perez Diaz)
Nous achetons un énorme fromage pour quelques pesos seulement et du pain fait maison et finissons notre soirée tranquillement dans notre petite maison. |
|  14 décembre 2011
Après avoir dit adieu à veaux, vaches, cochons et dindons........, nous nous dirigeons vers la capitale de l'île Castro.
Cette fois, nous nous arrêtons car il est impératif que nous lavions notre linge
Au Chili, il est difficile de trouver des emplacements gratuits et assez spacieux pour notre véhicule.
La plupart des places payantes en centre ville sont dirigées par des entreprises privées qui emploient un nombre incalculable de personnes. Ces personnes surveillent le moindre m2 d'emplacement et verbalisent aussitôt
Nous restons donc très peu de temps sur place, nous déposons notre linge que nous récupérerons au retour demain et faisons un tour de la place où l'on peut observer la cathédrale San Francisco construite en 1910, elle est en bois et peinte en jaune et mauve les couleurs sont un peu délavées, dommage
Nous n'oublions pas notre collection d'églises et chapelles tout au long de notre chemin |
| 
Après un arrêt à Chonchi, autre petit port, nous repartons vers Cucao, plus à l'ouest, près du parc national de Chiloe.
Pour une fois, nous n'avons que de l'asphalte, un régal
Nous arrivons dans l'après-midi à Cucao, petit village adorable et nous continuons la piste vers la plage durant 5 kilomètres environ.
Nous nous garons un peu avant la plage (on ne voudrait pas s'ensabler quand même, on n'a toujours pas de plaques  )
La mer est agitée et fait un énorme vacarme, nous trouvons des vaches au milieu des dunes
Les enfants s'amusent et c'est à regret qu'ils reviennent au cc D'autant plus qu'on leur annonce qu'on va aller à pied vers le centre pour acheter quelques trucs pour ce soir
Et nous sommes partis pour 2h de marche (ida y vuelta: ceux qui ont suivi mes cours d'espagnol comprendront ) Tout ça pour acheter 6 oeufs et une bouteille d'eau, histoire de ne pas mourir de soif en route
Vous imaginez les commentaires acerbes de Thomas
Heureusement, il y a des vaches sur la route, des oiseaux et des chevaux que l'on aperçoit entre les arbres qui semblent pourtant impénétrables tant ils sont serrés les uns aux autres Du coup, Thomas retrouve le sourire
Arrivée au camping car, dîner et au lit les enfants
|
|  15 décembre 2011
Nous quittons cette partie de l'île et repartons vers l'est, direction Dalcahue, un autre petit port.
Cette ville est très tranquille et on peut enfin se garer où l'on veut près du port.
Ici , les enfants terminent leur année scolaire, en principe c'est le dernier jour pour la plupart.
Certains ont déjà terminé et se promènent à travers la ville qui commence à se parer des décorations de Noël. C'est étrange d'être en T-shirt sous 27° et de penser qu'on est à quelques jours de cette fête
Nous visitons un petit musée où l'on découvre des objets très anciens utilisés par les premières tribus de l'île , en particulier une sorte de pirogue appelée "dalca" que ces indiens utilisaient et qui est à l'origine du nom de la ville. Il y a aussi des machines à écrire (Matthias a compris que c'était l'ancêtre de l'ordinateur ), des tourne-disques, .....
|
| 
Nous faisons un tour du côté de l'église, très jolie, l'intérieur fait de bois ôte aussitôt toute la froideur que l'on trouve dans les églises traditionnelles en pierres.
L'inconvénient du bois est bien sûr le feu et de nombreuses églises ont été et sont encore détruites par les incendies.
Les enfants sont plus intéressés par des chiots qui vivent avec leur mère au pied de cette église
Il faut dire que ces pays sont envahis par les chiens, pour la plupart abandonnés, il y en a vraiment partout Apparemment les refuges genre SPA n'existent pas ou sont saturés.
En dehors de la pêche, la ville vit aussi de son artisanat ( bois et laine), on y trouve donc beaucoup d'exposants qui essaient de vous vendre des objets parfois très jolis parfois très "vieillots"
Pour la nuit, nous décidons de reprendre un peu la route pour aller 40km au nord est à Tenaun qui possède une magnifique petite église.
|
|  Et on repart pour quelques kilomètres de piste
Une journée sans piste, c'est un peu comme des frites sans ketchup
Tenaun est construite autour d'une rue, le long de l'océan. Nous avons donc vite fait le tour et on s'installe près de l'embarcadère où seuls nous accompagnent une truie et son petit |
| 
Commentaires des enfants: " C'est rigolo, un porc dans un port, ah, ah, ah, " Quelle finesse d'esprit
Une fois installés, nous sortons les cours, "chouette" s'écrient les enfants
José s'occupe de la Triv'mobil: resserre des boulons, revisse des vis, regraisse les serrures........Je ne suis pas jalouse, mais parfois c'est dur à vivre .
Une petite promenade dans la rue principale et tout le monde se couche et s'endort bercé par le bruit des vagues, sauf José qui trouve ce bruit trop "bruyant".....................;
|
|  16 décembre 2011
Aujourd'hui, c'est resto et pourtant c'est pas encore Noël
On retourne donc à Dalcahue où nous avions remarqué hier une sorte de cantine sur le port où il y avait différents stands de cuisine proposant le plat traditionnel de l'île composé de moules, de grosses coques, de saucisses, poulet, pommes de terre...: le curanto.
Je sais que certains d'entre vous en ont déjà l'eau à la bouche..............
C'est donc parti pour la "cocineria" de Dalcahue; il a encore peu de monde car il est tôt. Nous faisons le tour des postes et on choisit celui qui prépare le curanto, des empanadas (sorte de chaussons) et qui propose des frites pour les enfants.
Pour 25€, nous en avons largement assez
En ressortant de la cantine, nous apercevons un groupe d'élèves du collège de Dalcahue qui fait une représentation en tenue traditionnelle, très jolie, ils jouent divers airs de Noël à la flute et à la guitare, enfin un peu de folklore local
Départ pour le nord, nous quittons l'île en nous apercevant un peu tard qu'il y a du wifi sur le bateau
Nous nous arrêtons le soir dans le camping municipal d'Osorno, nous avons de la chance car la propriétaire nous laisse rentrer alors que normalement le terrain est réservé tous les jours jusqu'au 24 décembre par les écoles et entreprises qui font leurs fêtes de fin d'année.
Le tarif sera donc celui que nous déciderons, cool
Chiloe |
|  Normalement, on avait prévu de s'arrêter plus loin, mais notre Triv'mobil a fait parler d'elle
José ne doit pas s'en occuper suffisamment
C'est un bruit en roulant sur l'autoroute qui nous a alerté (au début on pensait que c'étaient les bavettes qui touchaient quelque chose), c'est seulement un morceau du pneu qui est parti Rien à voir avec les pneus des Mozet
Notre samedi va sûrement être consacré à trouver des pneus tous neufs
|
|  17 décembre 2011Quand je vous avait dit qu'elle prenait de plus en plus de place dans notre vie, c'est fait la limite a été dépassée
La Triv'mobil a eu 4 nouveaux pneus plus grands et plus larges Beau cadeau de Noël, n 'est-ce pas ?
Et moi, j'ai eu un livre de poche à 10€ Y'a pas comme une injustice, là
Il paraît que les pneus étaient très usés autant les avants que les arrières alors on en a profité pour tous les changer.
Et nous voilà repartis pour Valdivia à l'ouest du Chili.
Les paysages ne changent pas beaucoup et nous commençons à ressentir l'envie de voir autre chose de plus spectaculaire comme ce que nous avons vu jusqu'à présent.
Nous sommes agréablement surpris en arrivant à Valdivia, son port est très animé, son île (lors du tremblement de terre de 1960, les mouvements sismiques ont provoqué d' énormes failles par lesquelles l'eau s'est engouffrée et cela a formé des petites îles dans la partie sud de la ville) Teja est charmante, très ombragée.
|
| 
C'est dans cette partie de la ville que nous trouvons notre bonheur pour manger et sûrement dormir: une impasse qui nous offre une vue directe sur l'avenue du port où nous apercevons plusieurs bateaux militaires dont un énorme sous-marin, il y a même des lions de mer sur le quai Et en plus, on a du wifi de l'hôtel voisin Est-ce qu'on peut rêver mieux
En fin de journée, nous allons faire un tour dans le centre, de nombreuses animations sont proposées à l'approche de Noël, des petits orchestres sillonnent les rues.........C'est très dynamique
Il y a de nombreux touristes pour la plupart chiliens, peu d'Européens.
Tranquilles dans notre impasse,, nous finissons la soirée autour.......................... d'un plat de pâtes Heureusement qu'elles existent
|
|  18 décembre 2011
La cathédrale nous réveille à 8h, tant pis nous ferons la grasse mat' demain Nous pouvons nous permettre de dormir tant qu'on veut, nous, on est en vacances
Du coup, nous traversons la ville en cc pour trouver plus de wifi et appeler la famille.
Après quelques essais, nous stoppons devant un petit hôtel .
A ce sujet, nous tenons à remercier ces petits hôtels qui nous permettent régulièrement de nous connecter et sans lesquels notre vie serait parfois très dure.
" Merci à l'hôtel Casa Grande, Calafate viejo... j'en oublie certains, mais ils se reconnaîtront sûrement"
Apparemment en France il fait froid, même dans le sud Pas de chance
Nous sommes super contents de pouvoir parler aux mamies et papis, il y a même les cousines Clara et Anaïs et leur petit frère Timeo que nous n'avions pas encore vus depuis notre départ.
Dans une semaine, c'est Noël, et c'est vrai que cette année, loin de la famille, on est un peu "étrangers" à toute cette ambiance festive car on est surtout focalisés sur tout ce qu'on découvre ici jour après jour et en plus, notre super sapin de Noël d'1m50 ne rentre même pas dans le cc
|
| 
Une fois les coups de fil terminés, nous nous préparons pour bouger et qui voyons-nous sortir d'un "hostal" situé juste à côté .......... Asael et Lio, nos 2 auto-stoppeurs israéliens Ils sont aussi étonnés que nous Nous ne pensions pas nous revoir. Ils continuent leur voyage, cette fois en louant une voiture avec 2 autres amis rencontrés sur la route et prennent le bus dans quelques jours pour Cordoba en Argentine. On a nous aussi prévu d'y aller
Nous nous disons donc adieu pour la 3ème fois et nous allons vers Niebla, un port touristique plus au sud.
Sur la route, nous apercevons de beaux lotissements privés avec gardien et grand portail, les maisons, immenses, contrastent avec ce qu'on voit généralement.
Arrivés à Niebla, nous parcourons le port et observons quelques personnes étalant des algues pour les faire sécher. Celles-ci sont ensuite envoyées au Japon pour être utiliser en cosmétique.......
|
| 
Avant de nous installer dans notre bivouac, nous allons faire un tour au jardin botanique de Valdivia qui se situe dans l'Université. Agréable promenade au milieu des différentes espèces d'arbres (23 d'après ce que nous a dit la personne de l'office du tourisme)
Je ne peux terminer cette journée sans parler des 2 nouveaux placards que José a fabriqués sous les sièges.
Cela nous permet de ranger les chaussures qui traînent continuellement et d'autres bricoles.
Bravo Jo le bricoleur :!
Valdivia |
| |
|
|
|
|
